Consolations divines


“Pourquoi es-tu abattue, mon âme ? Et pourquoi es-tu agitée au-dedans de moi ? Attends-toi à Dieu ; car je le célébrerai encore : Il est le salut de ma face et mon Dieu”. Psaume 43. 5
“Dieu est notre refuge et notre force, un secours dans les détresses, toujours facile à trouver”. Psaume 46. 1

« Tu me rendras mon honneur et de nouveau, Tu me consoleras. » La Bible, Psaume 71:21

Ami affligé, dans le deuil, la maladie ou la détresse, notre “Dieu de toute consolation … nous console à l’égard de toute notre affliction” (2 Corinthiens 1. 3, 4). Les consolations, les sympathies d’un ami sont un baume pour le coeur, mais elles passent et elles restent plus ou moins superficielles parce qu’elles sont humaines. Mais quand notre Père intervient dans sa sagesse, son amour et sa puissance, quelles ressources appropriées, quel sûr refuge, quelles consolations nous trouvons en Lui ! Il nous entoure de sa bonté et nous fait éprouver qu’Il nous aime comme un Père très attentionné.

Quelle que soit l’épreuve, quelle que soit la détresse, quelle que soit la douleur physique ou morale, Dieu sait nous consoler. Allons à Lui, tournons-nous vers Lui, faisons-Lui confiance, disons-Lui nos peines. Il désire que nous les Lui exprimions par des paroles, des soupirs ou des larmes. David chantait : “Tu comptes mes allées et mes venues ; mets mes larmes dans tes vaisseaux (dans ton outre) ; ne sont-elles pas dans ton livre ?” (Psaume 56. 8). Aucune de nos souffrances n’échappe à Dieu ; il recueille toutes nos larmes. Sa provision de consolation est suffisante pour répondre à tous nos besoins, si grands, si variés soient-ils.

Asaph s’écriait : “Ma chair et mon coeur sont consumés” (Psaume 73. 26). Quelle détresse dans cette expression ! Sa douleur physique (“ma chair”) s’alliait à sa souffrance intérieure (“mon coeur”). Mais il ajoutait avec confiance : “Dieu est le rocher de mon coeur, et mon partage pour toujours…M’approcher de Dieu est mon bien ; j’ai mis ma confiance dans le Seigneur, l’Éternel, pour raconter tous tes faits(Psaume 73. 26b et 28).

La présence divine ressentie, la paix que donne la main qui nous tient (v. 23), l’assurance de pouvoir s’accrocher à Dieu comme à un rocher inébranlable, c’est ce qui encourage le croyant qui souffre. L’épreuve permettra de faire briller la réalité de sa foi et de glorifier le Dieu qui est fidèle à son titre de consolateur.

P.a.S

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