« J’espère en ton secours, ô Éternel! » la Bible, Genèse 49:18
“Samuel prit une pierre et la plaça entre Mitspa et le rocher, et il appela son nom Ében-Ézer, et dit: L’Éternel nous a secourus jusqu’ici”. 1 Samuel 7. 12

« J’espère en ton secours, ô Éternel! » la Bible, Genèse 49:18
Ében-Ézer marque une étape décisive de la vie d’Israël en Canaan. Situé sur le territoire de la tribu de Benjamin, cet endroit est choisi par Dieu pour manifester sa puissance à son peuple en deux occasions. La première, c’est pour lui infliger une humiliante défaite devant les Philistins qui s’emparent même de l’arche de Dieu (1 Samuel 4. 1-3; 5. 1); la seconde pour le délivrer du joug de ces mêmes Philistins (1 Samuel 7. 13-14). Entre ces deux interventions de Dieu s’écoulent vingt longues années où Dieu est silencieux jusqu’au moment où le prophète Samuel amène le peuple à s’humilier, à ôter les idoles et à revenir à l’Éternel.
Au terme de ce “long temps”, vécu dans la servitude des Philistins, le peuple d’Israël se lamente et retourne enfin vers Dieu (1 Samuel 7. 2). Fini le temps où, se confiant en sa propre force, il attaquait les Philistins; fini aussi ce transport insensé de l’arche de Dieu au milieu des combattants, comme si Dieu pouvait agir en faveur d’un peuple rebelle et idolâtre. Samuel, porte-parole de Dieu, est là pour leur enseigner le sûr chemin de la délivrance. Ce chemin passe obligatoirement par un retour sincère à Dieu, par l’abandon des idoles, par la confession du péché et par la pleine confiance dans l’intercession de Samuel. Quand ces conditions sont remplies, Dieu peut, non seulement délivrer son peuple le jour de la bataille, mais encore lui faire reconquérir les villes prises par l’ennemi. C’est une pleine restauration, scellée par la pose d’une pierre appelée Ében-Ézer, c’est-à-dire «pierre du secours». Samuel la dresse à l’endroit même où Israël avait été battu deux fois, vingt ans plus tôt. Il l’accompagne de cette dédicace: “L’Éternel nous a secourus jusqu’ici”. Ce mémorial rappelle surtout l’auteur de la délivrance. Ce “jusqu’ici” marque la fin d’une étape douloureuse au terme de laquelle l’épreuve a porté son fruit.
Nous pouvons connaître aussi, parfois, quelque défaillance dans notre vie spirituelle. Le remède est toujours le même: revenir à Dieu sincèrement, abandonner nos «idoles», confesser nos fautes et nous confier dans l’intercession efficace de Jésus (Hébreux 7. 25; Hébreux 4. 15-16). Nous sommes assurés d’avoir son secours “au moment opportun” (Hébreux 4. 16).
P.a.S.
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Amen!!
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Souvent, quand nous sommes acculés par les difficultés, nous ns tournons d’ abord vers les proches et ensuite quand plus rien ne va , on revient vers Dieu.
Et c’ est pas normal.
Seul Dieu, qui est le maître des temps et des circonstances de notre vie a le dernier mot. Donc en toute chose ns devons ns référez à lui.
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oui on oublis que DIEU est notre Seul vrai proche, vraiment tres proche car IL vit en nous
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Amen jusqu’ici l’Éternel ma secourus malgré mes fautes et mes faiblesses merci Seigneur pour ton amour.
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Amen
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cette pierre de la restauration Eben ezer à notre temps signifie la personne du seigneur Jesus christ qui nous aide à quitter les idole à aller vers Dieu pour enfin d’obtenir vitoire davant les phylistin qui sont presentés à l’image du pecher.
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Dieu est mer veiller
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Merci Seigneur pour ton intervation dans nos vies
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Dieu est redoutablement Bon!
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la grâce est parfaite malgré la panoplie des fautes ( lamentation 3:31_36)
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merci jesus pour ton secours qui ne tarde jamais
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je valide
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