“(Jashobham) leva sa lance contre trois cents hommes, qu’il tua en une fois… (Jashobham et Éléazar) se placèrent au milieu du champ, et le sauvèrent… Trois (des trente chefs) forcèrent le passage à travers le camp des Philistins, et puisèrent de l’eau du puits de Bethléhem… (Abishaï) leva sa lance contre trois cents hommes qu’il tua… (Benaïa) descendit, et frappa le lion… Et c’est lui qui frappa l’homme égyptien”. 1 Chroniques 11. 11, 14, 18, 20, 22, 23
Les hommes forts de David avaient une grande force physique. Comme croyants, nous avons besoin d’avoir une grande force spirituelle. Le Seigneur nous la donne quand nous réalisons notre faiblesse devant Lui : “Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort” (2 Corinthiens 12. 10).
Chaque exploit des hommes forts de David est soigneusement consigné, avec les détails qui font ressortir les conditions souvent bien particulières et les difficultés de leurs combats. David a sans doute apprécié chaque haut fait. De même, nos luttes sont différentes les unes des autres et elles varient au fil du temps. Elles sont consignées dans le livre de Dieu avec tout ce qui les a caractérisées. Le Seigneur, qui prie pour nous dans nos luttes, est celui qui discerne et apprécie nos qualités de combattant.
Le premier exploit et le quatrième semblent identiques. Pourtant, Abishaï “n’atteignit pas les trois premiers” (v. 21). C’est le Seigneur qui distribue la couronne au vainqueur et Lui seul donne une récompense juste.
Dans le deuxième exploit, l’Esprit rappelle : “L’Éternel opéra une grande délivrance” (v. 14). Après le combat, n’oublions pas que c’est Dieu qui a remporté la victoire car c’est lui qui nous a donné les forces.
Le troisième exploit est sans doute celui qui a le plus touché David. Ce qu’apprécie le Seigneur par-dessus tout, c’est que l’on réponde à ses désirs, que l’on fasse toutes choses pour Lui, par amour et par obéissance.
Le dernier exploit nous rappelle que Satan (le lion) et le monde (l’homme égyptien) sont des ennemis qu’il faut sans cesse combattre. La récompense pour Benaïa est précieuse : “une place dans les audiences privées” de David (v. 25).
Pour nous, le Seigneur nous ouvre son coeur. Nous reprenons des forces dans l’intimité de Celui qui nous assure la victoire par son combat remporté à la croix. Le Seigneur Jésus nous dit encore aujourd’hui : “Ayez bon courage, moi j’ai vaincu le monde” (Jean 16. 33).
P.a.S
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Nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés, Jésus-Christ ! Romains 8: 37 Phil
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