“Ce que tu sèmes n’est pas vivifié s’il ne meurt pas… Il en est de même aussi de la résurrection des morts : le corps est semé en corruption, il ressuscite en incorruptibilité”. 1 Corinthiens 15. 36, 42

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à Celui qui m’a envoyé a la vie éternelle; il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.’ La Bible, Jean 5:24
Pourquoi la mort provoque-t-elle la crainte et même l’angoisse ? Pourquoi l’homme la redoute-t-il ? Pour plusieurs raisons dont voici quelques-unes :
– L’homme est né pour vivre, non pour mourir. C’est si vrai que l’agonisant même semble se cramponner à ce qui lui reste de souffle.
– Une personne encore jeune envisage l’avenir en fonction de ses projets ou de ses devoirs envers sa famille. Renoncer à tout cela n’est pas facile.
– Le non-croyant essaie de se persuader que tout est fini au jour de la mort, mais il n’en est pas si sûr. Un saut dans le vide n’est rassurant pour personne.
– Par contre, le chrétien a une espérance fondée sur les promesses divines. Mais son service qui n’est que commencé, qui l’achèvera ? Ce goût d’inachevé rend pénible la pensée de devoir tout abandonner.
La Bible affirme que la mort n’est pas la cessation de l’existence. L’utilisation fréquente dans la Bible du verbe dormir sous-entend que l’être continue d’exister. Le corps retourne à la poussière, mais l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné (Ecclésiaste 12. 6, 7 ; Genèse 2. 7 et Esaïe. 42. 5).
La mort physique est donc pour le corps seulement ; la partie immatérielle de l’être ne lui reste pas attachée quand le corps est mis dans la tombe. De l’homme qui meurt, il est dit : “Son esprit sort…” (Psaume 146. 4) et aussi : “Il expira, et fut recueilli vers ses peuples” (Genèse 49. 33).
Une part excellente est réservée au croyant. L’apôtre Paul l’exprime ainsi : “Être avec Christ, c’est, de beaucoup, meilleur”, c’est “être absent du corps et être présent avec le Seigneur” (Philippiens 1. 23 ; 2 Corinthiens 5. 8). Mais pour le non-croyant, il ne reste qu’une “attente terrible de jugement” (Hébreux 10. 27). Le croyant, lui, attend la venue du Seigneur pour chercher les siens. La terre et la mer rendront tous ceux qui sont morts en Christ (1 Thessaloniciens 4. 16). Ressuscités, ils revêtiront, avec les croyants vivants, des corps immortels. La certitude de ce moment extraordinaire nous stimule pour être fidèles et répandre l’Évangile.
P.a.S
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