Aujourd’hui, je désire vous parler de la JOIE. Eh bien ! Me direz-vous, ce n’est pas le moment… Au contraire, lisez plutôt :
La JOIE chrétienne n’est pas synonyme de satisfaction ou plaisir. Bien sûr, les petites joies ne sont pas à dédaigner ; heureusement qu’il y en a, sinon la vie serait triste. Mais la JOIE qui vient de Dieu est une JOIE profonde, intérieure, fondée sur les certitudes de la Parole de Dieu. Elle ne disparaît pas – ou ne devrait pas disparaître – quand les circonstances sont défavorables.
Dieu a dit à Noé que l’arc-en-ciel serait le signe de son alliance avec lui et ses descendants (Genèse 9.12-13) – dont nous sommes. Avez-vous déjà réfléchi que pour qu’un arc-en-ciel apparaisse, il faut qu’il pleuve tandis que le soleil brille ? Pas d’arc-en-ciel si le ciel est sans nuage ! J’en déduis que les difficultés peuvent nous amener à prendre plus fortement conscience de cette alliance que Dieu souhaite établir avec nous, si nous le voulons bien. Certes, l’image de l’arc-en-ciel est imparfaite. Contrairement à ce phénomène, la réalité céleste est permanente ; c’est celle d’un Dieu personnel qui nous aime et qui nous parle, qui nous apporte une JOIE indépendante de nos réalités terrestres. Elle nous tient debout dans les vents contraires, elle nous donne la paix dans la tempête, elle nous fortifie dans les moments de faiblesse physique, morale ou spirituelle. Elle est là, tout au fond de notre cœur. « C’est la joie de l’Eternel qui fait votre force » (Néhémie 8.10 fin).
Qu’est-ce qui fait que la JOIE peut être telle que je viens de la décrire ?
- Elle ne provient pas de nous, mais de Dieu. Elle est en rapport avec notre certitude
d’appartenir à Jésus-Christ, mort et ressuscité, si du moins nous avons mis notre foi en lui. « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur » (Philippiens 4.4).
- Elle est fondée sur cette assurance inébranlable que Jésus accorde à ceux qui l’ont accepté comme le Seigneur de leur vie. « Réjouissez-vous de ce que vos noms sont inscrits dans le ciel » (Luc 10.20b).
- Dans notre langage, le verbe se réjouir a deux sens ; d’une part, éprouver de la joie, et d’autre part, avoir hâte que l’événement attendu se réalise. La JOIE de Dieu a ces deux sens. Elle porte nos regards et nos pensées en haut, vers le ciel où Jésus nous introduira. « Réjouissez-vous dans l’espérance » (Romains 12.12a).
- Étonnamment, la joie chrétienne n’exclut pas la tristesse. Il faut oser être triste, il faut oser dire qu’on est triste. Mais la tristesse n’exclut pas la joie. L’apôtre Paul, dans sa lettre aux Philippiens, mentionne sa tristesse, et dit qu’il pleure à cause du mauvais comportement de certaines personnes. En même temps, il parle de sa joie à plusieurs reprises, et il encourage ses lecteurs à se réjouir en répétant : « Réjouissez- vous dans le Seigneur ! » (Philippiens 2.27-28 ; 2.18 ; 3.1 ; 4.4).
Je vous laisse avec cette merveilleuse promesse du Seigneur Jésus-Christ : « Je vous reverrai et votre cœur se réjouira ; et votre joie, personne ne vous l’enlèvera » (Jean 16.22b).
Suzanne B.
Si, tu veux refléter la joie de Dieu, clique sur l’enveloppe :
Hallelujah hallelujah, que Dieu vous bénisse abondamment, homme de Dieu par ce message très important, qui m’a fort touché. Vraiment je suis béni, et que Le Tout-Puissant vous protège !
Merci beaucoup
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Oui, la joie intérieure et la paix profonde, ce n’est que Dieu qui peut les accorder. Et, cela ne dépend aucunement des circonstances que nous pouvons traverser.
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