“C’est Lui qui guérit ceux qui ont le coeur brisé, et qui bande leurs plaies ; qui compte le nombre des étoiles : à elles toutes Il donne des noms. Notre Seigneur est grand et d’une grande puissance ; son intelligence est sans bornes”. Psaume 147. 3-5

« Quand je contemple le ciel, œuvre de tes mains, la lune et les étoiles que tu y as placées, je dis: «Qu’est-ce que l’homme, pour que Tu te souviennes de lui, et le fils de l’homme, pour que Tu prennes soin de lui?» Tu l’as fait de peu inférieur à Dieu et Tu l’as couronné de gloire et d’honneur. » La Bible, Psaume 8:4-6
Par un soir d’été, quand nous sortons pour contempler la voûte céleste étoilée, quel spectacle extraordinaire ! Nous nous sentons tout petits, insignifiants sous cet immense décor scintillant. Et encore, notre oeil ne voit que peu de chose ; car les télescopes géants ont mis en évidence que les nébuleuses, que l’on croyait être des nuages de gaz, sont en réalité constituées d’un grand nombre d’étoiles. Poussières d’étoiles, innombrables soleils qui illuminent notre galaxie, comme bien d’autres galaxies… À l’échelle de l’univers, la terre elle-même est une poussière voguant dans « l’espace incommensurable des cieux »…
Il m’est arrivé de contempler le ciel étoilé, en pleine nuit, dans mes insomnies, le coeur brisé par quelque grande peine. Je suis là et je lève mes yeux remplis de larmes vers cette voûte scintillante. Est-ce que vraiment un Dieu si grand, le Créateur de cet univers, peut s’occuper d’un coeur brisé par la souffrance ?
C’est alors que me reviennent en mémoire les merveilleuses paroles du Psaume 147 : “L’Éternel affermit les débonnaires” (v. 6) ; “Chantez à l’Éternel… qui couvre de nuages les cieux, qui prépare la pluie pour la terre, qui fait germer l’herbe sur les montagnes ; qui donne la nourriture au bétail” (v. 8, 9). “Le plaisir de l’Éternel est en ceux qui le craignent, en ceux qui s’attendent à sa bonté” (v. 11). Devant ces paroles magnifiques, mon coeur s’apaise. Oui, je compte pour Dieu. Sa grandeur ne l’empêche pas de penser à moi, une si petite créature. J’ai maintenant l’assurance que ce Dieu qui a fait les mondes désire aussi s’occuper d’un coeur qui souffre.
Je répète doucement ces paroles : “C’est Lui qui guérit ceux qui ont le coeur brisé, et qui bande leurs plaies”. Je ne sais pas comment Il va le faire, mes circonstances n’ont pas changé, mais je rentre me coucher, apaisé. Dieu s’est approché de moi. Il est un Dieu présent, un Dieu puissant et d’une tendresse infinie.
P.a.S
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Je suis ouvert un peu plus dans la connaissance du DIEU , créateur des cieux et terres …IL est vrai quand on l’observe dans ses créatures… merci à vous pour la remarque et l’affirmation de l’OBSERVABLE » »🙏🙏🙏
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