“Moi, je fais toujours ce qui Lui est agréable”. Jean 8. 29

« Discernez ce qui est agréable au Seigneur » La Bible, Ephésiens 5:10
Dans le chapitre 8 de l’évangile selon Jean, Jésus confond les pharisiens venus pour l’éprouver. Ces propres justes cherchent à démontrer qu’Il s’oppose à la loi de Moïse, mais ils doivent se retirer l’un après l’autre devant l’autorité de Jésus venu dans le monde pour accomplir la Loi (Matthieu 5. 17, 18). Cependant, cette défaite ne leur enseigne rien. À peine Jésus a-t-Il affirmé qu’Il est la lumière du monde, qu’ils l’attaquent à nouveau: “Ton témoignage n’est pas vrai” (Jean 8. 13). Répondant à cette accusation, Jésus révèle le mystère de l’unité du Père et du Fils (v. 16-19), Il affirme son identité céleste (v. 23) et termine par le verset du jour.
Dans toutes ses actions, ses paroles et ses pensées, Jésus a toujours fait ce qui était agréable à son Père ; toutes, et chacune d’elles en particulier, étaient le fruit de leur intime communion. De plus, il y avait chez le Fils le désir constant de réjouir son Père dans son obéissance de chaque instant: “C’est mes délices, ô mon Dieu, de faire ce qui est ton bon plaisir” (Psaume 40. 9). Citée sept fois dans la Parole, l’approbation du Père certifie l’affirmation du Fils: “mon élu”, “mon bien-aimé”, “mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir” (Esaïe 42. 1 ; Matthieu 3. 17 ; 12. 18 ; 17. 5 ; Marc 1. 11 ; Luc 3. 22 ; 2 Pierre 1. 17).
Et pourtant, cet élu, ce Fils bien-aimé, Dieu “l’a soumis à la souffrance” (Esaïe 53. 10), malgré des “prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort” (Hébreux 5. 7). Le Fils bien-aimé, entièrement consacré, soumis à la volonté de son Père jusqu’à la mort à la croix, s’offre pour se charger de nos péchés dont le salaire est la mort. Il accepte d’être fait péché pour nous, sachant qu’il sera jugé et condamné comme le péché même. Dieu y consent, par amour pour nous (Romains 5. 8). Même sur la croix, sa consécration est montée à Dieu comme un sacrifice de bonne odeur: “Christ nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous, comme offrande et sacrifice à Dieu en parfum de bonne odeur” (Ephésiens 5. 2). Cela nous dépasse, mais nous aide à comprendre “l’amour du Christ qui surpasse toute connaissance” (Ephésiens 3. 19) et nous remplit d’adoration.
P.a.S
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Jésus nous a tant aimé, c’est pourquoi Il a accepté de mourir sur la croix pour nous sauver. Bonne journée! Kiss!
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