!["[...] Le mirage et le soleil ne les feront point souffrir; Car celui qui a pitié d'eux sera leur guide, Et il les conduira vers des sources d'eaux." La Bible, Esaïe 49: 8 à 10](https://lirelabible.files.wordpress.com/2013/02/mirage.jpg?w=300&h=283)
« […] Le mirage et le soleil ne les feront point souffrir; Car celui qui a pitié d’eux sera leur guide, Et il les conduira vers des sources d’eaux. » La Bible,
Esaïe 49: 8 à 10
Connaissez-vous le mystère du mirage ? Un adolescent inexpérimenté en la matière témoigne de sa première expérience avec un mirage, en Irak. Depuis un village en bordure du désert, il vit au loin pendant plusieurs jours, à la même heure, une oasis avec de la verdure et un lac. Comme plusieurs personnes voyaient aussi cette oasis, il ne voulut pas croire que c’était un mirage. Un jour, il partit seul dans le désert pour aller jusqu’à l’oasis. Il faillit y laisser la vie et c’est épuisé et déshydraté qu’il parvînt enfin à revenir au village. En fait, son oasis n’était qu’une image, résultant des différences de température des couches d’air proches du sol. C’était une image inventée par les rayons lumineux. Pour l’avoir ignoré et n’avoir pas cru les adultes, il aurait pu perdre la vie. Le mirage est une apparence qui cache un danger mortel. C’est une illustration de la tentation. Le plus subtil des mirages est celui de la possibilité d’une vie réussie sans Dieu. C’est la tentation des tentations dans laquelle mon orgueil et ma suffisance me poussent à m’engouffrer. Mais un jour le mirage s’évanouit et je me retrouve seul, confronté à des problèmes de vie insurmontables, accusant Dieu et l’univers entier de ce qui m’arrive. Au bout de cette marche, c’est la mort dans un désert sans Dieu. Les chrétiens aussi peuvent être attirés par des mirages, dont celui de ne pas faire confiance à Dieu, de ne pas dépendre de lui. Comme l’adolescent qui n’a pas écouté l’avertissement au sujet du mirage, je peux me tromper et croire que je sais mieux que Dieu ce qui est bon pour moi.
A. P. www.dieu-mon-ami.org
Lecture biblique proposée : Jérémie chapitre 17 : versets 5 à 13
Passages relatifs
- Prenez donc bien garde, mes frères, que personne parmi vous n’ait le coeur mauvais et incrédule au point de se détourner du Dieu vivant. Hébreux 3 : 12
- […] puisque je suis resté fidèle aux voies qu’il a prescrites, je n’abandonne pas mon Dieu pour m’adonner au mal. Psaume 18 : 22
- Voici ce que déclare l’Eternel : Maudit soit l’homme qui compte sur des hommes et qui fait des moyens humains la source de sa force mais qui détourne son coeur de l’Eternel. Jérémie 17 : 5
- On raconte […] comment vous vous êtes tournés vers Dieu en vous détournant des idoles pour servir le Dieu vivant et vrai et pour attendre que revienne du ciel son Fils qu’il a ressuscité des morts, Jésus […] 1 Thessaloniciens 1 : 9
- O Dieu, tu es mon Dieu ! C’est toi que je recherche. Mon âme a soif de toi, mon corps même ne cesse de languir après toi comme une terre aride, desséchée et sans eau. Psaume 63 : 2
- L’homme avisé suit le sentier qui mène en haut vers la vie et qui le fait échapper au séjour des morts en bas. Proverbes 15 : 24
- […] C’est au nom du Christ que nous vous en supplions : soyez réconciliés avec Dieu.
2 Corinthiens 5 : 20
Je le fais et je le proclame:
Si tu veux résister à la tentation avec l’aide de Dieu, clique sur l’enveloppe:
“Le mirage est une apparence qui cache un danger mortel. C’est une illustration de la tentation. Le plus subtil des mirages est celui de la possibilité d’une vie réussie sans Dieu. C’est la tentation des tentations dans laquelle mon orgueil et ma suffisance me poussent à m’engouffrer. Mais un jour le mirage s’évanouit et je me retrouve seul, confronté à des problèmes de vie insurmontables, accusant Dieu et l’univers entier de ce qui m’arrive. “ (C’est ce que vous dites)
Oui pour beaucoup de croyant Dieu est un mirage dont ils n’arrivent pas à connaitre ! Pourquoi ? Parce qu’ils ne connaissent qui est Dieu et arrivent à mélanger le Père et le Fils, et ainsi faire du Fils le Dieu Tout-Puissant qu’il n’est pas.
Voilà le drame chez de nombreux croyants ! Ils pensent adorer le DIEU Suprême, par l’adoration de Jésus, qui n’est en réalité que le Fils de Dieu, envoyé par son Père en chair sur la terre pour sauver les hommes de bonne volonté qui reconnaissent la place du Fils et la place du Père dans l’ordre théocratique.
Jésus a toujours dit en parlant de son Père : “Que ta volonté se fasse sur la terre comme elle est faite dans les cieux !” et “Que ton nom YHWH soit sanctifié”. Matthieu 6:9,10
J’aimeJ’aime
Mais n’est-ce pas au nom de Jésus-Christ que les démons tremblent et sont chassés ? N’est-ce pas dans les meurtrissures de Jésus que nous avons été guéris ? (1 Pierre 2/24) N’est-il pas le seul intermédiaire entre Dieu et les hommes ? N’est-il pas écrit que tout pouvoir lui a été donné ? Lorsque vous dîtes M. Baert, en parlant de Jésus, qu’il n’est « QUE » le Fils de Dieu c’est méconnaitre qui il était vraiment car « en lui habitait corporellement toutes la plénitude de la Divinité »… On ne peut connaître Dieu le Père que par son Fils et en devenant son enfant ! Dieu s’est révélé en trois personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit… Un seul et même Dieu en trois personnes !
Jésus est assis à la droite de Dieu le Père et Il intercède pour chacun de nous…
Ce n’est pas en vain que nous le prions, le remercions et lui rendons gloire sachant que toute la gloire va, également vers Dieu son Père et notre Père !
J’aimeJ’aime
La Trinité, faut-il y croire ?
Si vous croyez sincèrement à la Trinité, vous n’êtes pas le (la) seul(e). Au sein de la chrétienté des centaines de millions de personnes sont dans votre cas. D’ailleurs, peut-être avez-vous toujours été persuadé que cette doctrine était fondée sur la Bible. Mais savez-vous exactement en quoi elle consiste ? Vous en faites-vous une idée bien claire ? Seriez-vous capable de l’expliquer à quelqu’un d’autre ?
Le symbole d’Athanase, qui constitue l’une des premières professions de foi complètes touchant la Trinité, la définit par ces mots :
« Du Père, du Fils et du Saint-Esprit, une est la divinité, égale la gloire, coéternelle la majesté. (…) Semblablement, tout-puissant le Père, tout-puissant le Fils, tout-puissant le Saint-Esprit. (…) Dieu est le Père; Dieu, le Fils; Dieu, le Saint-Esprit: et il n’y a pas trois Dieux, mais un seul Dieu. (…) Et dans cette Trinité, rien n’est premier ou dernier, rien n’est plus grand ou plus petit; mais toutes les trois personnes sont coéternelles et coégales. »
Ainsi donc, suivant ce dogme le Père, le Fils et le Saint-Esprit seraient égaux par la puissance, par l’autorité et par l’éternité. Cependant, la question cruciale est la suivante : si l’on en juge d’après leur enseignement, Jésus Christ et ses apôtres, eux, croyaient-ils à la Trinité ? Quiconque répond par l’affirmative se heurtera à un grand nombre de problèmes pour le moins délicats.
Par exemple, en Marc 13:32 Jésus déclare: « Ce jour ou cette heure [ceux de l’exécution du jugement divin], nul ne les connaît, ni les anges du ciel, ni le Fils, personne sinon le Père. » Pourtant, si le Père et le Fils sont coégaux, comment celui-ci peut-il ignorer ce que celui-là connaît ? À quoi d’aucuns rétorqueront : ‘C’est que Jésus réunissait en lui deux natures. Dans ce passage, il s’exprime en tant qu’homme.’ Toutefois, quand bien même il en serait ainsi, que penser du « Saint-Esprit »? S’il constitue vraiment la troisième personne de la Trinité, pourquoi n’est-il pas dit qu’il partage la connaissance du Père ? La solidité d’une chaîne dépend toujours de son maillon le plus faible. Or le « Saint-Esprit », ne l’oublions pas, fait partie intégrante de la « chaîne » ou du concept trinitaire.
De même, quelque temps auparavant Jésus avait prononcé ces paroles: « Nul ne connaît qui est le Fils, si ce n’est le Père, ni qui est le Père si ce n’est le Fils. » (Luc 10:22). Là encore, pourquoi n’est-il pas question du « Saint-Esprit »? S’il s’agit d’une personne consciente appartenant à la « divinité », coégale au Père et au Fils, pourquoi ne pénètre-t-elle pas ce que l’un et l’autre connaissent ?
Plus de 20 ans après la mort de Jésus et son ascension au ciel, l’apôtre Paul écrira : « ‘Qui connaît la pensée du Seigneur [le Père]? Qui peut lui donner des conseils?’ Mais nous, nous avons la pensée du Christ. » (1 Corinthiens 2:16, Bible en français courant). Comment peut-on posséder « la pensée du Christ » et néanmoins ignorer la « pensée du Seigneur » si le Père et le Fils sont réellement coégaux?
En Proverbes 8:22-24 nous lisons: « Le Seigneur m’a créée il y a très longtemps, comme la première de ses œuvres, avant toutes les autres. J’ai été établie dès le début des temps, avant même que le monde existe. Quand je suis née, il n’y avait pas d’océans. » (Bible en français courant). Les premiers chrétiens avaient bien compris que cette description de la sagesse personnifiée désignait le Christ. Ainsi Edmund Fortman, bibliste trinitaire, écrivait : « Paul l’applique [Proverbes 8:22-31] au Fils de Dieu. Les apologistes l’ont invoqué pour démontrer devant Gentils et Juifs la préexistence du Verbe et le rôle qu’il a joué dans la création. » (Voir Colossiens 1:15-17; Apocalypse 3:14). Mais si Jésus a commencé d’exister à un moment précis, s’il a été ‘créé’, ‘établi’, s’il est ‘né’ ‘s’il fut engendré’ bien longtemps avant le début de sa vie terrestre, comment serait-il égal à son Père en éternité ? Au reste, seule une créature (autrement dit quelqu’un qui a eu un commencement) pouvait dire: « Je vis à cause du Père. » (Jean 6:57, Darby).
À maintes reprises, Jésus appela son Père « mon Dieu », et ce, même après sa résurrection et sa glorification au ciel (Matthieu 27:46; Jean 20:17; Apocalypse 3:2, 12). Or on ne considère quelqu’un comme ‘son DIEU ’ que lorsqu’on lui est inférieur et qu’on se compte parmi ses adorateurs. D’ailleurs, pourquoi le Père n’a-t-il pas employé une seule fois les mots « mon Dieu » en s’adressant à son Fils ? Comment se fait-il que ni le Père ni le Fils n’aient jamais appelé le « Saint-Esprit » « mon Dieu » ?
Si nous pensons que Jésus et DIEU sont le même personnage alors pourquoi Jésus à dit : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. » (Jean 14:23)
Lorsque Jésus à dit : « le Père est plus grand que moi « (Jean 14:28)
Pourquoi Jésus a dit : « mais je ne suis pas seul, car le Père est avec moi. » (Jean 16:32)
Et encore : « Celui qui m’a envoyé est avec moi, il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. » (Jean 8:16, 29)
Et : » Je parle selon ce que le Père m’a enseigné. » (Jean 8: 28)
Lorsque Jésus parlait, c’est souvent qu’il parlait en donnant des images de la vie courante. Quand il parle de la vigne, il dit : « Je suis le vrai cep et mon Père est le vigneron » (Jean 15:1) Ne mentionne-t-il pas deux entités différentes. Le Vigneron qui est DIEU son Père et lui-même comme étant le cep de la vigne. Et il précise pour que nous fassions biens la différence : »Je suis le cep et vous êtes les sarments. » (Jean 15:5).
Voilà qui donne à réfléchir, n’est-ce pas ?
Des réactions qui brillent par leur absence
Si nous pensons que Jésus Christ se croyait égal à Dieu et qu’il se présentait comme tel, il nous faudra élucider un autre mystère: Pourquoi le « Nouveau Testament » ne fait-il pas la moindre allusion aux effets qu’un tel enseignement a nécessairement produits ? Mais quels effets ?, direz-vous !
Réfléchissez tout d’abord à l’impact que cette révélation aurait dû avoir sur les disciples de Jésus. Au début, ils voyaient sans doute en leur Maître un homme comme un autre, (voir Marc 6:3). Supposons maintenant qu’à un moment donné celui-ci leur ait appris qu’il était DIEU. Comment auraient-ils réagi ? Comment réagiriez-vous vous-même si vous compreniez soudain que vous vous trouvez devant DIEU en personne ?
À cette idée, Andrews Norton, l’un des premiers professeurs de l’École de théologie de Harvard, s’exclamait au siècle dernier: « Nous serions bouleversés, envahis par une indicible stupéfaction! » Et si nous nous rendions compte que nous nous sommes effectivement tenus en présence de DIEU, « nous ne cesserions de le proclamer avec le plus de force possible chaque fois que nous aurions l’occasion de parler de lui ».
Mais, en toute objectivité, remarquons-nous une telle stupeur chez les disciples de Jésus lorsque nous lisons les Évangiles? Certains allégueront peut-être que pour les épargner Jésus ne leur a révélé que progressivement son identité véritable. Néanmoins, dans ce cas, pourquoi ne rencontre-t-on toujours aucune trace de leur surprise dans les lettres du « Nouveau Testament », qui ont pourtant été écrites des années après la mort et la résurrection du Christ? Leur silence ne paraît-il pas inexplicable ?
En outre, si Jésus s’était identifié à DIEU, cela aurait entraîné d’autres conséquences encore plus grandes. Pour les Juifs, qui croyaient que ‘le SEIGNEUR (…) est le SEIGNEUR UN, ou « le SEUL Seigneur », dire que le Christ était égal à DIEU en tant que deuxième personne de la Trinité revenait à blasphémer. « YaHWeH est notre DIEU, YaHWeH est un seul et unique » (Deutéronome 6:4). En Hébreux : »Yehwah ‘Elohénou Yehwah ‘éhadh. »
Voilà qui soulève deux questions :
1) Pourquoi les rédacteurs du « Nouveau Testament » n’ont-ils pas expliqué, clarifié, commenté et défendu tant et plus cet enseignement si difficile à accepter pour les Juifs devenus chrétiens ? De toutes les doctrines chrétiennes, la Trinité aurait sans doute été celle qui méritait le plus d’éclaircissements.
2) Par ailleurs, pourquoi les Juifs incroyants qui combattaient farouchement et passionnément le christianisme ne se sont-ils pas élevés contre ce dogme qui aurait dû leur paraître monstrueux. Aucun article de foi ne pouvait déchaîner plus de polémiques que celui-là.
C’est ce qui a amené le professeur Norton à faire cette remarque : « Si d’autres questions beaucoup moins délicates (par exemple la circoncision des non-Juifs convertis) ont engendré tant de doutes et de controverses que l’autorité des Apôtres suffisait à peine à faire triompher la vérité, il semble que cette doctrine [la Trinité] pourtant si étrange, si choquante et si invraisemblable a été introduite dans le silence le plus complet et adoptée sans hésitation, sans manifestations d’aversion, sans hostilité et sans aucun malentendu. »
Voilà qui est à tout le moins troublant.
Ainsi donc, pourquoi les rédacteurs du « Nouveau Testament » n’ont-ils pas jugé bon d’expliciter la Trinité ? Pourquoi les Juifs opposés au christianisme n’ont-ils pas songé à la dénigrer ? Tout simplement parce que ni Jésus ni ses apôtres n’ont enseigné cette doctrine à laquelle la chrétienté souscrit maintenant dans son ensemble. Dans ce cas, d’où vient-elle ?
La doctrine de la Trinité honore-t-elle DIEU ?
‘La Trinité a été reçue plus tard par la tradition, bien qu’elle ne soit pas définie par l’Écriture’, diront certains. Toutefois, comment concilier pareille origine avec cette déclaration de Paul consignée en Galates 1:8 » Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème ! »
La Bible avait prédit une période d’apostasie où beaucoup s’éloigneraient du vrai christianisme. Nous lisons: » Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons » (1Timothée 4:1). Puisque, d’après la Nouvelle encyclopédie catholique (angl.), la doctrine de la Trinité n’a pas été établie avant « le dernier quart du quatrième siècle », il convient que nous nous posions ces questions : Se pourrait-il que le dogme de la Trinité soit le fruit de cette apostasie ? S’agirait-il là d’une ‘doctrine inspirée par les démons’ ?
On peut en juger d’après les fruits que cet enseignement a portés. Lorsque les Juifs l’accusèrent d’être possédé du démon, Jésus répliqua: « Non, je ne suis pas un possédé; mais j’honore mon Père. » (Jean 8:49). Que dire de la doctrine de la Trinité sous ce rapport ? Vous a-t-elle rapproché du Dieu de la Bible ? A-t-elle honoré DIEU en aidant les hommes à entretenir des relations plus étroites avec lui ? Laissons répondre les faits.
« La doctrine de la Sainte Trinité est extrêmement difficile à expliquer, et personne ne la comprend », reconnaissait un dignitaire catholique. Pourtant, toute personne sensée souhaite fonder sa foi sur des explications logiques. Est-il donc normal qu’un concept du Créateur soit inexplicable ? DIEU peut-il être honoré par une croyance que ‘personne ne comprend’ ? Les vrais chrétiens doivent connaître le DIEU qu’ils adorent. Le mystère n’a pas sa place dans leur foi. (Jean 17:3)
Qui plus est, au lieu de rapprocher les hommes du Père, la doctrine de la Trinité a un effet de reléguer ce dernier à l’arrière-plan. Par exemple, la tradition protestante l’a plongé dans une obscurité quasi totale. Pour vous en convaincre, demandez à ceux qui proclament « Louez le Seigneur! » à qui ils pensent quand ils s’expriment ainsi, et vous obtiendrez presque toujours cette réponse: « À Jésus Christ, bien sûr ! »
Plus près de DIEU… ou de Marie ?
Dans la tradition catholique, cette situation s’aggrave du fait que Marie est vénérée comme « Mère de Dieu », « Médiatrice de toutes les grâces », « Co-rédemptrice » et « Reine du ciel ». Or tous ces titres sont autant de conséquences logiques du dogme de la Trinité. Témoin cette explication de la Nouvelle encyclopédie catholique : « Pour que Marie soit vraiment la mère de Dieu, il faut que les deux conditions suivantes soient remplies: qu’elle soit réellement la mère de Jésus et que Jésus soit réellement DIEU »
Pour montrer combien le Père a été éclipsé, citons cette satire où Pierre Bayle, protestant français du XVIIe siècle, s’étonnait qu’on n’ait pas encore décrit Dieu confiant l’univers à Marie, en disant
« que depuis ce jour-là, Dieu ne se mêlait de rien, et se reposait de tout sur la vigilance de Marie ; que les ordres avaient été expédiés à plusieurs anges d’aller notifier sur la terre ce changement de gouvernement, afin que les hommes sussent à qui et comment il fallait avoir recours à l’avenir dans les actes d’invocation, que ce n’était plus (…) à la Sainte Vierge comme à une Médiatrice, ou à une Reine subordonnée, mais comme à l’Impératrice souveraine et absolue de toutes choses ». (Dictionnaire historique et critique de Pierre Bayle, repris par Arnold Toynbee dans son livre La religion vue par un historien).
Par contraste, rappelons que YaHWeH réclame un attachement exclusif (Exode 20:5). Il a d’ailleurs formulé cet avertissement: « Je ne donnerai ma gloire à personne. » (Ésaïe 42:8, Crampon-Tricot).
Dès lors, tout montre qu’au lieu d’honorer DIEU en aidant les humains à s’approcher de lui, la doctrine de la Trinité l’a présenté sous un jour complètement faux. Il est donc évident que ses premiers défenseurs étaient des apostats, des individus qui s’étaient détournés du vrai christianisme.
D’où vient-elle ?
Le fait est qu’on adorait des trinités bien avant l’avènement du christianisme. Par exemple, cette notion était très répandue dans les mythologies égyptienne et babylonienne. Mais comment s’est-elle introduite dans la chrétienté ? Le livre Histoire du christianisme (angl.), publié par Peter Eckler, nous l’explique en ces termes :
« S’il est vrai que le christianisme a triomphé du paganisme, il n’en demeure pas moins que le paganisme a réussi à corrompre le christianisme. L’Église de Rome a remplacé le déisme pur des premiers chrétiens (qui se différenciaient seulement de leurs compatriotes juifs en ce qu’ils saluaient Jésus comme le Messie promis) par l’incompréhensible dogme de la Trinité. Pareillement, de nombreuses doctrines païennes inventées par les Égyptiens et idéalisées par Platon ont été adoptées parce que considérées comme dignes de foi. »
Cependant, étaient-elles réellement « dignes de foi » ? Qu’en pensez-vous ? Jésus Christ a déclaré on ne peut plus clairement que ses vrais disciples ‘adoreraient le Père en vérité’. (Jean 4:23, 24.) Oui, notre culte doit être conforme aux vérités énoncées dans la Parole de Dieu, la Bible. Pour ce faire, il importe que nous reconnaissions en Jésus Christ, non pas Dieu le Fils, mais « le Fils de Dieu ». (Jean 20:31; 1 Jean 4:15.) Et de ce fait, il est également nécessaire et important que nous rejetions tous les mensonges issus du paganisme. (Voir, le culte des images, des statues, de toutes représentations ou pratiques religieuses, le chapelet, l’encens, les cierges, ou cérémonies qui n’ont rien à voir avec ce que relate LA BIBLE.
[Note]
Sauf indication, les passages bibliques cités sont tirés de la Traduction Œcuménique de la Bible.
Certains invoqueront le texte de Jean 5:17, 18 où nous lisons: « ‘Mon Père, jusqu’à présent, est à l’œuvre et moi aussi je suis à l’œuvre.’ Dès lors, les Juifs n’en cherchaient que davantage à le faire périr, car non seulement il violait le sabbat, mais encore il appelait Dieu son propre Père, se faisant ainsi l’égal de Dieu. » Cependant, Jean rapporte ici l’interprétation erronée que les Juifs avaient faite des paroles de Jésus. Ce sont eux qui en avaient déduit à tort qu’il se faisait « l’égal de Dieu ». La preuve en est qu’ils l’accusaient également de violer le sabbat, ce qui était tout aussi faux. Voir Matthieu 5:17-19.
Pourquoi les Juifs qui s’opposaient au christianisme ne se sont-ils pas élevés contre cette doctrine qui aurait dû leur paraître monstrueuse ?
Où sont-ils passés ?
Les paroles consignées en Matthieu 24:36 au sujet de la date de la « grande détresse » ou « grande tribulation » se lisent ainsi dans la « Bible Crampon »: « Quant au jour et à l’heure, nul ne les connaît, pas même les anges du ciel, mais le Père seul. » Vous aurez remarqué que les mots « ni le Fils » sont omis, bien qu’ils figurent dans la plupart des autres versions. Pourquoi ? De toute évidence, ce verset gênait les tenants de la Trinité. En effet, comment le Fils pouvait-il ignorer ce que le Père savait, si l’un et l’autre étaient coégaux? Dans un commentaire sur Matthieu 24:36, l’ouvrage intitulé « Le codex Sinaïticus et le codex Alexandrinus » (angl.), publié par les conservateurs du British Museum, donne cette explication: « Le Sinaïticus et le Vaticanus [des manuscrits de la Bible] ajoutent ‘ni le Fils’ après ‘ciel’. Ces mots, qui constituent manifestement la leçon originale, ont été supprimés de crainte qu’ils ne provoquent une méprise doctrinale. »
J’aimeJ’aime
Jésus n’essaya pas d’usurper la position de son Père céleste ; il “ne songea pas à une usurpation, à savoir qu’il fût égal à Dieu”. Le texte grec original de ce passage est rendu comme suit dans la Traduction Louis Segond éd. 1910-1987: “Lequel (…) n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu.” La Bible du Centenaire éd.1928-1947 porte : “Il n’a pas considéré l’égalité avec Dieu comme une proie à saisir.” Enfin, La Sainte de JN.Darby éd.1988 traduit ainsi cette phrase : “Lequel (…) n’a pas regardé comme un objet à ravir d’être égal à Dieu.”
Tout au contraire, Jésus “se vida” de ce qu’il possédait au ciel, et il le fit de son plein gré, conformément à la volonté de son Père céleste, de sorte qu’il ne lui restait que son droit à la vie. Étant donné qu’il “se vida” de toutes les choses célestes quand il prit “la forme d’un esclave, (…) [et] devint selon la ressemblance des hommes”, il est évident qu’il ne possédait pas ces choses célestes alors qu’“il se trouva en figure d’homme” sur terre. Il s’ensuit qu’il n’était pas un homme-Dieu sur la terre ; il n’était pas moitié esprit moitié homme ; il n’était pas une créature hybride, à la fois céleste et terrestre. C’était un homme authentique, dont la force vitale avait été transférée du ciel par l’opération miraculeuse de l’esprit (ou force, énergie) du Dieu Tout-Puissant. Il n’était pas l’incarnation d’une personne céleste, la “Parole de Dieu”, mais selon les termes très clairs de Jean 1:14, “ la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.”. Puisque Jésus n’avait pas un père humain sur la terre et qu’il reçut son corps charnel de la vierge juive Marie, il continuait d’être le Fils de Dieu en ligne directe, le Fils unique de son Père céleste.
baert.c@gmail.com
J’aimeJ’aime
« Je vous l’ai dit, et vous ne me croyez pas: les œuvres que je fais au nom de mon Père rendent témoignage de moi; Mais vous ne me croyez point, parce que vous n’êtes pas de mes brebis. Mes brebis entendent ma voix. Je les connais et elles me suivent. Et je leur donne une vie éternelle, et elles ne périront jamais, et nul ne les ravira de ma main. Mon Père qui me les a données, est plus grand que tous, et nul ne peut les ravir de la main de mon Père. Mon père et moi nous sommes un. »Jean 10, 22-30
Celui qui adore Jésus est dans la volonté du Père. Même s’il faut adorer le Père et le Fils, adorer Jésus n’est pas un mal mais c’est nécessaire car il est le chemin, la vérité et la vie et nul ne vient au Père que par Lui.
Le Père n’est pas jaloux du Fils, pas plus que le Fils du Père. Ils forment un avec le Saint Esprit. Méfiez-vous, les fausses doctrines viennent d’une mauvaise interprétation de la Trinité : les témoins de Jéovah ne croient pas au Fils comme les Musulmans (Dieu est un pour eux) et les catholiques sont quadrinitaires (le Père, le Fils, le St Esprit et la Mère).
Il faut adorer le Père et Jésus. Le début de l’Evangile de Jean nous dit que c’est Jésus qui a tout créé (Jésus la Parole). S’il est soumis au Père, il n’en est pas moins Dieu.
J’aimeJ’aime
Avez-vous remarquez que dans la phrase de : »Mon père et moi nous sommes un. »Jean 10, 22-30, il est indiqué DEUX entités (et pas 3) et il est dit : « Nous sommes » Si c’est Nous, c’est qu’ils sont DEUX.
baert.c@gmail.com
J’aimeJ’aime
» Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la parole de vie, car la vie a été manifestée, et nous l’avons vue et nous lui rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée, ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, à vous aussi, afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous. Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus Christ. » (1 Jean.1 à 3)
J’aimeJ’aime