Il existe des maximes proverbiales qui sont dues à l’observation et au fin bon sens de la foule ; ce sont celles que le livre des Proverbes appelle « la sagesse qui crie dans les rues. » Il en est d’autres qui sont le produit des expériences formulées par quelque sage qui, du sein de sa retraite, observe le mouvement des choses, soit dans la société, soit dans la nature, et en consigne le résultat dans chaque cas particulier. Ces deux genres de sentences réunis forment le contenu du livre des Proverbes. Le second seul remplit celui de l’Ecclésiaste.*
- Chapitre 1
- Chapitre 2
- Chapitre 3
- Chapitre 4
- Chapitre 5
- Chapitre 6
- Chapitre 7
- Chapitre 8
- Chapitre 9
- Chapitre 10
- Chapitre 11
- Chapitre 12