“Si tu perds courage au jour de la détresse, ta force est mince”. Proverbes 24. 10
“Bon courage, mon enfant, tes péchés sont pardonnés… Bon courage, ma fille ; ta foi t’a guérie”. Matthieu 9. 2, 22

« Soyez vigilants, demeurez fermes dans la foi, faites preuve de courage, soyez forts. » La Bible, 1 Corinthiens 16:13
« Allez, bon courage ! ». C’est une expression que nous employons souvent face à quelqu’un en difficulté. En exprimant ce souhait, nous désirons montrer que nous comprenons un peu les peines, les souffrances ou les soucis de la personne à qui nous nous adressons. Mais, même si nous sommes sincères et pleins d’affection, ces mots n’apportent qu’un réconfort bien passager.
Dans la Bible, nous trouvons souvent cette expression ou d’autres qui lui sont semblables. Dans la bouche du Seigneur, elle est d’un autre niveau et d’une autre portée, car lui seul peut entrer en vraie sympathie avec ceux qui sont éprouvés. En effet, il a connu, comme Fils de l’homme, toutes les circonstances douloureuses qui peuvent nous atteindre.
Et surtout, Jésus va plus loin. Non seulement ses compassions divines apportent la consolation, mais il donne une vraie raison d’avoir “bon courage” en apportant la solution au problème. Le paralysé repart chez lui debout, portant son petit lit, car ses péchés sont pardonnés (Matthieu 9. 2) : c’était là son véritable problème et Jésus seul avait le pouvoir de le guérir, corps et âme (v. 6).
La femme qui avait une perte de sang (Matthieu 9. 22) rentre chez elle soulagée, enfin guérie : le Seigneur, divin médecin, a mis fin au mal qui la tourmentait depuis douze ans et l’empêchait d’avoir une vie sociale normale.
Plus tard, Jésus encourage ses disciples par une parole semblable, pleine de majesté et de beauté dans sa simplicité : “Courage ! C’est moi, n’ayez pas peur” (Matthieu 14. 27). Sa présence seule répond au danger auquel ils étaient confrontés et les délivre.
À la fin de son ministère, il sait aussi encourager ses disciples en leur disant : “Ayez bon courage, moi j’ai vaincu le monde” (Jean 16. 33). Cette parole nous donne la force nécessaire dans nos combats : nous savons que nous sommes avec celui qui a vaincu. Et il nous donne tout ce qu’il faut pour vaincre à notre tour.
Quand nous allons vers quelqu’un découragé par une épreuve ou dans une situation difficile, nous ne pouvons pas lui apporter « notre solution ». Mais parlons de Jésus qui sympathise à toutes les douleurs et apporte une réponse adaptée à chaque difficulté.
P.a.S
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