“… Sa grâce dont il nous a comblés dans le Bien-aimé. En qui nous avons la rédemption par son sang…” Éphésiens 1. 6-7

« Que le Dieu de l’espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous débordiez d’espérance, par la puissance du Saint-Esprit! » La Bible, Romains 15:13
Nous pouvons bien dire que, depuis le péché d’Adam et d’Ève, les hommes se sont rendus parfaitement désagréables à Dieu: ils méprisent Son autorité, se moquent de Lui et même Le haïssent. Ils encourent donc Sa défaveur.
Mais, triomphe de la grâce, Dieu prend de ces hommes méchants pour les adopter comme Ses enfants, en faire Sa famille et même Ses héritiers. Cet accomplissement du “bon plaisir de Sa volonté” repose sur le sacrifice, le sang versé de Jésus Christ. Il est Son Fils bien-aimé, de toute éternité mais aussi comme homme entièrement dépendant et parfaitement obéissant sur la terre.
Nous voilà donc maintenant “comblés dans Le Bien-aimé”, c’est-à-dire placés dans une position de grâce et de faveur. Nous ne sommes pas des hommes améliorés que Dieu tolérerait dans Sa présence. Non, nous étions de la race d’Adam et à ce titre nous avons été condamnés sans appel. Nous avons été identifiés aux yeux de Dieu avec Christ mourant sur la croix. Mais nous sommes identifiés aussi avec Lui dans Sa résurrection, de telle sorte que Dieu nous voit maintenant en Celui qui Lui a été si parfaitement agréable!
Réalisons-nous l’intimité de la relation dans laquelle Dieu, par grâce, nous a placés en faisant de nous Ses enfants ? Non seulement il a ôté de dessus nous toute menace de condamnation, mais il nous invite à jouir de Son amour paternel, à communiquer avec Lui, à Le prier, à Le louer.
Honorons-Le en appréciant Sa grâce et en nous approchant de Lui avec amour et confiance! Que diriez-vous d’un enfant qui resterait méfiant à l’égard de son père, malgré ses manifestations affectueuses? Il est vrai qu’un péché non jugé peut nous mettre mal à l’aise devant le Père et empêcher le développement de relations confiantes avec Lui. Mais ce n’est pas là une situation normale.
Qu’avons-nous à faire ? Une seule chose: confessons ce péché, et Dieu qui est fidèle et juste nous pardonnera (1 Jean 1. 9 et 2. 1). Et ce sera à nouveau la communion avec Lui, par conséquent, la paix et la joie qui en découlent.
P.a.S
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L’Eternel est mon Berger, je ne manquerai de rien.
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