La bonté de Dieu court après moi


Pour cette dernière méditation de cette série sur la course, c’est la bonté de Dieu qui est à l’honneur au travers de ce beau témoignage :

« Wilma Rudolph naît dans une famille pauvre du Tennessee. Prématurée, elle pèse à peine 2kg et a une santé fragile. Elle contracte la poliomyélite et perd l’usage de sa jambe gauche. Grâce aux soins prodigués par sa famille, elle recommence à marcher et se lance dans le sport pour renforcer son corps. C’est efficace !

À 16 ans, elle se qualifie pour les JO de Melbourne, en 1956. Elle revient avec une médaille de bronze glanée dans le 4x100m. Elle progresse à pas de géant. Celle qu’on surnomme la « Gazelle noire » à cause de son élégance remporte le 100m. Des JO de Rome en 11’’3, record olympique réalisé sur une piste en cendrée. Elle domine également les 200m. Et réussit l’exploit de remonter toutes ses adversaires au relais 4x100m. Pour empocher sa 3ème médaille d’or en quelques jours. Ces Jeux en font une véritable star, tout le monde se presse pour la voir courir en Europe, un fan lui vole même ses chaussures à Berlin. Que de chemin parcouru pour cette petite fille handicapée ! »

(source livre “Grands records et petites anecdotes des J.O.” – Kerjean & Labourdette)

Alors que les médecins avaient annoncé à ses parents que Wilma ne marcherait certainement jamais. Sa mère ne s’est pas arrêtée à ces paroles. Outre les thérapies auxquelles elle a amené sa fille, ses nombreuses prières pour elle ont certainement fait la différence !

Cette magnifique histoire me fait penser à ce verset du Psaume 31.20 : « Combien est grande la bonté que tu tiens en réserve en faveur de ceux qui te craignent, et que tu viens répandre, sur ceux qui s’abritent en toi, au vu de tous les hommes.»  

Et en écoutant dernièrement la chanson “The Goodness of God” en version française, j’ai été frappée par le passage, où il est chanté : Ta bonté court après moi.

Il s’agit en fait d’une piètre traduction de la version originale anglaise : your goodness is running after me. En français, nous devrions plutôt dire : ta bonté me poursuit.

Pourtant, cela m’a fait sourire d’imaginer que la bonté de Dieu court. Et qu’elle court après moi.

Et toi, peux-tu aussi témoigner de la bonté et fidélité de Dieu qui court après toi (te poursuit) depuis toujours ?

Avec le souffle que Dieu a mis en toi, tu cours et tu pratiques ton sport.

Aussi, aujourd’hui, avec le souffle que Dieu a mis en toi, je t’invite à louer Dieu en chantant sa bonté qui court après toi !

Sandrine Ray
Aumônière Sportives

Si tu veux témoigner de la bonté de Dieu, clique sur l’enveloppe !bontéContact

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